Hernan Elencwajg est né à Buenos Aires (Argentine) en 1993.
Il est le plus jeune d’une fratrie de six. Après avoir passé quatre jours à la prestigieuse Université de Buenos Aires, il a la possibilité de partir neuf mois à l’école nationale de cirque de Montréal. Avec le soutien de ses parents, il arrête ses études universitaires pour se dédier entièrement au cirque en 2012.
Après son passage au Canada, et fasciné par la recherche et la diversité dans le cirque contemporain français, il voyage en Europe pour retrouver son frère circassien.
En commençant par l’acrobatie, Hernan s’intéresse aux portés acrobatiques et au main à main. Il débute en 2014 à la bascule coréenne à l'Ecole nationale des arts du cirque de Rosny-sous-Bois (Enacr), où il forme un collectif de bascule et de portés acrobatiques composé de sept jeunes acrobates qui le conduit finalement à quatre, au Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne.
Très intéressé par un mélange de travail en collectif, acrobatie, mouvement et théâtre, il imagine une carrière non seulement comme artiste interprète mais aussi comme auteur.
À la fin de son parcours à l'école, il co-fondera la compagnie La Bête à Quatre avec Tanguy Pelayo, Rémi Auzanneau et Baptiste Petit.
Cie La Bête à Quatre - Collectif Bascule
Les membres du futur collectif font leurs entrées en 2014 sous le chapiteau de l’École nationale des arts du cirque (Enarc) de Rosny-sous-Bois. Poussés par une envie commune de s'envoyer en l'air, ils décident à sept, de se lancer dans la bascule coréenne et les portés acrobatiques. Ils poursuivent à quatre leur formation au sein du Centre national des arts du cirque (Cnac) à Châlons-en-Champagne, où ils ne cessent d'enrichir leur univers commun et leur palette de techniques dans les différents domaines artistiques. Durant leur parcours, quelques rencontres s’avèrent décisives, notamment celle de Guy Alloucherie (Cie HVDZ) et de Sophia Perez (Cheptel Aleikoum) qui, les poussent dans leurs plaisirs de chercher et de créer ensemble. Leur désir : questionner et détourner leurs agrès afin de créer un langage propre à leur univers.
Après un été de spectacle de rue en 2017 et plusieurs expériences en commun, le collectif prend forme et évolue pour donner naissance à la Cie La Bête à Quatre (Grrrr).