Chloe Mazet, Corde lisse, 26e promotion du Centre national des arts du cirque/CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo Ch. Raynaud de Lage
Chloe Mazet, Corde lisse, 26e promotion du Centre national des arts du cirque/CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo Ch. Raynaud de Lage
Chloe Mazet, Corde lisse, 26e promotion du Centre national des arts du cirque/CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo Ch. Raynaud de Lage
Chloe Mazet, Corde lisse, 26e promotion du Centre national des arts du cirque/CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo Johanna Prevet
Chloe Mazet, Corde lisse, 26e promotion du Centre national des arts du cirque/CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo Johanna Prevet
Chloe Mazet, Corde lisse, 26e promotion du Centre national des arts du cirque/CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo Ch. Raynaud de Lage
Chloe Mazet - Corde lisse - Centre national des arts du cirque (Cnac) Châlons-en-Champagne - Photo Ch. Raynaud de Lage
Photo Ch. Raynaud de Lage
Chloe Mazet, Corde lisse, 26e promotion du Centre national des arts du cirque/CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo Philippe Cibille

Villefranche-sur-Saône, 1990.

C’est trois mois en avance et ne pesant qu’un kilo et des broutilles, que Chloé fait son entrée dans le monde. A l’âge de 6 ans, elle débute la gymnastique artistique et rentre au Conservatoire de musique en classe à horaires aménagés (CHAM).

La gymnastique prend très vite le pas sur la musique. A 10 ans, elle est championne régionale et à 13 ans, elle se classe 3e aux championnats de France FSCF (Fédération sportive et culturelle de France).

Née d’une mère britannique et d’un père français, elle décide de partir vivre un an en Arizona, ce qui lui permet d'améliorer sa maîtrise de la langue et de devenir bilingue.

A 19 ans, elle ressent le besoin de connecter ses connaissances et ses expériences. Elle se tourne alors vers les arts du cirque et découvre un nouveau rapport au corps, au mouvement et à l’espace. Elle intègre l'Ecole nationale des arts du cirque de Rosny-sous-Bois (Enacr) et se spécialise à la corde lisse qui lui fait découvrir la chorégraphe Christine Bastin.

Elle poursuit sa formation au Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne avec un travail axé sur la sensation, l’apesanteur et un très fort rapport au sol. Elle y rencontre Johanne Saunier qui lui permet d’approfondir cette relation avec le sol, et d’amener une notion de rythme et de décomposition du mouvement à son travail.